Ils viennent de s’adresser au Tribunal des professions dans le but d’empêcher que l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) puisse sévir à leur endroit.
En 2010, Axor avait reconnu avoir utilisé des employés comme prête-noms pour financer des partis provinciaux à la hauteur de 152 500$, surtout le Parti libéral et le Parti québécois.
La firme de génie avait plaidé coupable à une quarantaine de constats d’infraction du Directeur général des élections du Québec (DGEQ).
Par la suite, l’OIQ a décidé de faire passer ses membres impliqués devant son Conseil de discipline. Jacques Grenier, PDG d’Axor Experts-Conseils, est du nombre.
Les sanctions qu’impose l’ordre professionnel en cas de manquement au code d’éthique peuvent aller d’une simple réprimande jusqu’à une radiation permanente. Des amendes allant jusqu’à 12 500$ pour chaque infraction peuvent aussi être imposées.
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